Lejour oĂč je me suis aimĂ© pour de vrai, j’ai cessĂ© d’avoir peur du temps libre et j’ai arrĂȘtĂ© de faire de grands plans , j’ai abandonnĂ© les mĂ©gaprojets du futur. Aujourd’hui, je fais ce qui est correct, ce que j’aime, quand ça me plait et Ă  mon Annonce Votre navigateur ne supporte pas la balise HTML5 video. Vous l’avez probablement dĂ©jĂ  lu, ce magnifique poĂšme de Kim et Alison Mc Millen de 2001 intitulĂ© Le jour oĂč je me suis aimĂ© pour de vrai » DĂ©jĂ  cĂ©lĂšbre et promise Ă  une carriĂšre plus grande encore, sa silhouette est reconnaissable entre toutes et devint rapidement une icĂŽne; l’icĂŽne emblĂ©matique de l’art dramatique. Enfant de la scene Le 16 avril 1889, Charles Spencer Chaplin naĂźt dans un foyer misĂ©reux de Londres. Le pĂšre est la plupart du temps absent du foyer et sa mĂšre, qui a mille peines Ă  joindre les deux bouts, sera internĂ©e en hĂŽpital psychiatrique, alors qu’il n’a tout juste que 14 ans. Cependant, Charles est un enfant de la balle Hannah sa mĂšre, Ă©tait artiste de music-hall qui avait du mal Ă  vivre de son art et son pĂšre, Charles Sr., chanteur populaire
souffrant de problĂšmes d’alcohol. Annonce Le dernier film rĂ©alisĂ© et interprĂ©tĂ© par Charlie Chaplin avec le costume de Charlot est aussi son premier rĂ©alisĂ© en parlant’. Le Dictateur » sortit en 1940, alors qu’Hitler venait de dĂ©clencher la Seconde guerre mondiale et occupait la France. Voici un poĂšme remarquable Le jour oĂč je me suis aimĂ© pour de vrai,j’ai compris qu’en toutes circonstances,j’étais Ă  la bonne place, au bon alors, j’ai pu me je sais que cela s’appelle 
 l’Estime de soi. Le jour oĂč je me suis aimĂ© pour de vrai,j’ai pu percevoir que mon anxiĂ©tĂ© et ma souffrance Ă©motionnellen’étaient rien d’autre qu’un signallorsque je vais Ă  l’encontre de mes je sais que cela s’appelle 
 l’AuthenticitĂ©. Le jour oĂč je me suis aimĂ© pour de vrai,j’ai cessĂ© de vouloir une vie diffĂ©renteet j’ai commencĂ© Ă  voir que tout ce qui m’arrivecontribue Ă  ma croissance je sais que cela s’appelle
 la MaturitĂ©. Le jour oĂč je me suis aimĂ© pour de vrai,j’ai commencĂ© Ă  percevoir l’abusdans le fait de forcer une situation ou une personne,dans le seul but d’obtenir ce que je veux,sachant trĂšs bien que ni la personne ni moi-mĂȘmene sommes prĂȘts et que ce n’est pas le moment
Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle
 le Respect. Le jour oĂč je me suis aimĂ© pour de vrai,j’ai commencĂ© Ă  me libĂ©rer de tout ce qui n’était pas salutaire,personnes, situations, tout ce qui baissait mon dĂ©but, ma raison appelait cela de l’ je sais que cela s’appelle
 l’Amour propre. Annonce Le jour oĂč je me suis aimĂ© pour de vrai,j’ai cessĂ© d’avoir peur du temps libreet j’ai arrĂȘtĂ© de faire de grands plans,j’ai abandonnĂ© les mĂ©ga-projets du je fais ce qui est correct, ce que j’aimequand cela me plaĂźt et Ă  mon je sais que cela s’appelle
 la SimplicitĂ©. Le jour oĂč je me suis aimĂ© pour de vrai,j’ai cessĂ© de chercher Ă  avoir toujours raison,et je me suis rendu compte de toutes les fois oĂč je me suis j’ai dĂ©couvert 
 l’HumilitĂ©. Le jour oĂč je me suis aimĂ© pour de vrai,j’ai cessĂ© de revivre le passĂ© et de me prĂ©occuper de l’ je vis au prĂ©sent, lĂ  oĂč toute la vie se je vis une seule journĂ©e Ă  la cela s’appelle
 la PlĂ©nitude. Le jour oĂč je me suis aimĂ© pour de vrai,j’ai compris que ma tĂȘte pouvait me tromper et me si je la mets au service de mon cƓur,elle devient une alliĂ©e trĂšs prĂ©cieuse !Tout ceci, c’est
 le Savoir vivre. Nous ne devons pas avoir peur de nous chaos naissent des Ă©toiles. * * * * * * * LES BONS MOTS FONT LES BONS AMIS Dites-nous ce que vous pensez de ce poĂšme
 Ce poĂšme a Ă©tĂ© attribuĂ© Ă  tort Ă  Charlie Chaplin, car il l’aurait rĂ©citĂ© lors d’un de ses anniversaires. En fait il a Ă©tĂ© Ă©crit par Kim McMillen, une femme, Ă©crivain, et sa fille l’a publiĂ© en 2001. Annonce Voir plus Article prĂ©cĂ©dent CONFIANCE – SOLIDARITÉ – GRATITUDE – AMOUR Article suivant Le don du libre arbitre accordĂ© Ă  chaque Ăąme ClĂ©ment a toujours Ă©tĂ© trĂšs empathique et possĂšde de grandes capacitĂ©s d'Ă©coute, lorsque les gens ont besoin de conseils dans leurs relations, c'est toujours vers lui qu'ils se tournent. Lejour oĂč je me suis aimĂ© pour de vrai, j’ai commencĂ© Ă  percevoir l’abus dans le fait de forcer une situation ou une personne, dans le seul but d’obtenir ce que je veux, sachant trĂšs bien que ni la personne ni moi-mĂȘme ne sommes prĂȘts et que ce n’est pas le moment Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle le Respect. Le jour oĂč je me suis aimĂ© pour de vrai, j’ai Le texte ci-dessous m’a Ă©tĂ© offert par une amie trĂšs chĂšre. Il est signĂ© Charlie Chaplin. En tous les cas, c’est ce que semble dire la plupart des personnes qui ont Ă©galement repris ce texte sur leur blog personnel. Je n’ai nĂ©anmoins pas pu le vĂ©rifier. Qu’importe aprĂšs tout. Ce texte est magnifique et me parle beaucoup. Merci S. “Le jour oĂč je me suis aimĂ© pour de vrai, j’ai compris qu’en toutes circonstances, j’étais Ă  la bonne place, au bon moment. Et alors, j’ai pu me relaxer. Aujourd’hui je sais que cela s’appelle
 l’Estime de soi. Le jour oĂč je me suis aimĂ© pour de vrai, j’ai pu percevoir que mon anxiĂ©tĂ© et ma souffrance Ă©motionnelle n’étaient rien d’autre qu’un signal lorsque je vais Ă  l’encontre de mes convictions. Aujourd’hui je sais que cela s’appelle
 l’AuthenticitĂ©. Le jour oĂč je me suis aimĂ© pour de vrai, j’ai cessĂ© de vouloir une vie diffĂ©rente et j’ai commencĂ© Ă  voir que tout ce qui m’arrive contribue Ă  ma croissance personnelle. Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle
 la MaturitĂ©. Le jour oĂč je me suis aimĂ© pour de vrai, j’ai commencĂ© Ă  percevoir l’abus dans le fait de forcer une situation ou une personne, dans le seul but d’obtenir ce que je veux, sachant trĂšs bien que ni la personne ni moi-mĂȘme ne sommes prĂȘts et que ce n’est pas le moment
 Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle
 le Respect. Le jour oĂč je me suis aimĂ© pour de vrai, j’ai commencĂ© Ă  me libĂ©rer de tout ce qui n’était pas salutaire, personnes, situations, tout ce qui baissait mon Ă©nergie. Au dĂ©but, ma raison appelait cela de l’égoĂŻsme. Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle
 l’Amour propre. Le jour oĂč je me suis aimĂ© pour de vrai, j’ai cessĂ© d’avoir peur du temps libre et j’ai arrĂȘtĂ© de faire de grands plans, j’ai abandonnĂ© les mĂ©ga-projets du futur. Aujourd’hui, je fais ce qui est correct, ce que j’aime quand cela me plait et Ă  mon rythme. Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle
 la SimplicitĂ©. Le jour oĂč je me suis aimĂ© pour de vrai, j’ai cessĂ© de chercher Ă  avoir toujours raison, et je me suis rendu compte de toutes les fois oĂč je me suis trompĂ©. Aujourd’hui, j’ai dĂ©couvert 
 l’HumilitĂ©. Le jour oĂč je me suis aimĂ© pour de vrai, j’ai cessĂ© de revivre le passĂ© et de me prĂ©occuper de l’avenir. Aujourd’hui, je vis au prĂ©sent, lĂ  oĂč toute la vie se passe. Aujourd’hui, je vis une seule journĂ©e Ă  la fois. Et cela s’appelle
 la PlĂ©nitude. Le jour oĂč je me suis aimĂ© pour de vrai, j’ai compris que ma tĂȘte pouvait me tromper et me dĂ©cevoir. Mais si je la mets au service de mon cƓur,elle devient une alliĂ©e trĂšs prĂ©cieuse ! Tout ceci, c’est
 le Savoir vivre. Nous ne devons pas avoir peur de nous confronter. Du chaos naissent les Ă©toiles”. Charlie Chaplin.
Lejour oĂč je me suis aimĂ© pour de vrai, j’ai cessĂ© de revivre le passĂ© et de me prĂ©occuper de l’avenir. Aujourd’hui, je vis au prĂ©sent, lĂ  oĂč toute la vie se passe. Aujourd’hui, je vis une seule journĂ©e Ă  la fois. Et cela s’appelle la PlĂ©nitude. Le jour oĂč je me suis aimĂ© pour de vrai, j’ai compris que ma tĂȘte pouvait me tromper et me dĂ©cevoir. Mais si je la mets
Le jour oĂč je me suis aimĂ© pour de vrai, j’ai compris qu’en toutes circonstances, j’étais Ă  la bonne place, au bon alors, j’ai pu me je sais que ça s’appelle Estime de soiLe jour oĂč je me suis aimĂ© pour de vrai,j’ai pu percevoir que mon anxiĂ©tĂ© et ma souffrance Ă©motionnelle,n’étaient rien d’autre qu’un signal lorsque je vais Ă  l’encontre de mes je sais que ça s’appelle jour oĂč je me suis aimĂ© pour de vrai,j’ai cessĂ© de vouloir une vie diffĂ©renteet j’ai commencĂ© Ă  voir que tout ce qui m’arrive contribue Ă  ma croissance je sais que ça s’appelle jour oĂč je me suis aimĂ© pour de vrai,j’ai commencĂ© Ă  percevoir l’abus dans le fait de forcer une personne, dans le seul but d’obtenir ce que je veux, sachant trĂšs bien que ni la personne ni moi-mĂȘme ne sommes prĂȘts et que ce n’est pas le je sais que ça s’appelle jour oĂč je me suis aimĂ© pour de vrai,j’ai commencĂ© Ă  me libĂ©rer de tout ce qui ne m’était pas salutaire, personnes, situations, tout ce qui baissait mon dĂ©but, ma raison appelait ça de l’ je sais que ça s’appelle Amour jour oĂč je me suis aimĂ© pour de vrai,j’ai cessĂ© d’avoir peur du temps libre et j’ai arrĂȘtĂ© de faire de grands plans, j’ai abandonnĂ© les mĂ©gaprojets du je fais ce qui est correct, ce que j’aime, quand ça me plait et Ă  mon je sais que ça s’appelle jour oĂč je me suis aimĂ© pour de vrai,j’ai cessĂ© de chercher Ă  toujours avoir raison et me suis renducompte de toutes les fois oĂč je me suis j’ai dĂ©couvert l’ jour oĂč je me suis aimĂ© pour de vrai,j’ai cessĂ© de revivre le passĂ© et de me prĂ©occuper de l’ je vis au prĂ©sent, lĂ  oĂč toute la vie se je vis une seule journĂ©e Ă  la fois, et ça s’appelle jour oĂč je me suis aimĂ© pour de vrai,j’ai compris que ma tĂȘte pouvait me tromper et me dĂ©cevoir ,mais si je la mets au service de mon cƓur,elle devient un alliĂ© trĂšs Chaplin

LeJour oĂč je me suis aimĂ© pour de vrai Le jour oĂč je me suis aimĂ© pour de vrai, j’ai compris qu’en toutes circonstances, j’étais Ă  la bonne place, au bon moment.Et alors, j’ai pu me relaxer. Aujourd’hui je sais que cela s’appelle l’Estime de soi. Le jour oĂč je me suis aimĂ© pour de vrai, j’ai pu percevoir que mon anxiĂ©tĂ© et ma souffrance Ă©motionnelle n

Le jour oĂč je me suis aimĂ© pour de vrai,j’ai compris qu’en toutes circonstances,j’étais Ă  la bonne place, au bon alors, j’ai pu me je sais que cela s’appelle
 l’Estime de jour oĂč je me suis aimĂ© pour de vrai,j’ai pu percevoir que mon anxiĂ©tĂ© et ma souffrance Ă©motionnellen’étaient rien d’autre qu’un signallorsque je vais Ă  l’encontre de mes je sais que cela s’appelle
 l’ jour oĂč je me suis aimĂ© pour de vrai,J’ai cessĂ© de vouloir une vie diffĂ©renteet j’ai commencĂ© Ă  voir que tout ce qui m’arrivecontribue Ă  ma croissance je sais que cela s’appelle
 la jour oĂč je me suis aimĂ© pour de vrai,j’ai commencĂ© Ă  percevoir l’abusdans le fait de forcer une situation ou une personne,dans le seul but d’obtenir ce que je veux,sachant trĂšs bien que ni la personne ni moi-mĂȘmene sommes prĂȘts et que ce n’est pas le moment
Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle
 le jour oĂč je me suis aimĂ© pour de vrai,j’ai commencĂ© Ă  me libĂ©rer de tout ce qui n’était pas salutaire,personnes, situations, tout ce qui baissait mon dĂ©but, ma raison appelait cela de l’ je sais que cela s’appelle
 l’Amour jour oĂč je me suis aimĂ© pour de vrai,j’ai cessĂ© d’avoir peur du temps libreet j’ai arrĂȘtĂ© de faire de grands plans,j’ai abandonnĂ© les mĂ©ga-projets du je fais ce qui est correct, ce que j’aimequand cela me plait et Ă  mon je sais que cela s’appelle
 la jour oĂč je me suis aimĂ© pour de vrai,j’ai cessĂ© de chercher Ă  avoir toujours raison,et je me suis rendu compte de toutes les fois oĂč je me suis j’ai dĂ©couvert 
 l’ jour oĂč je me suis aimĂ© pour de vrai,j’ai cessĂ© de revivre le passĂ©et de me prĂ©occuper de l’ je vis au prĂ©sent,lĂ  oĂč toute la vie se je vis une seule journĂ©e Ă  la cela s’appelle
 la jour oĂč je me suis aimĂ© pour de vrai,j’ai compris que ma tĂȘte pouvait me tromper et me si je la mets au service de mon coeur,elle devient une alliĂ©e trĂšs prĂ©cieuse !Tout ceci, c’est
 le Savoir ne devons pas avoir peur de nous chaos naissent les par RenĂ© DumonceauVous pouvez partager cet article Ă  condition d’en respecter l’intĂ©gralitĂ© et d'en citer la source. Utilisez toujours votre discernement par rapport Ă  ces Ă©crits. Vous avez un Libre-Arbitre, alors utilisez-le et surtout, Ă©coutez ce que vous dicte votre coeur. Lui seul dĂ©tient votre vĂ©ritĂ©, laissez-le vous le 15/05/2011+MĂ J 09/08/2017 MA PUBLICITE COUP DE COEUR Je vous prĂ©sente la boutique d'IKAYA MOSSY qui travaille avec les artisans des pays d'Afrique et les aide Ă  accĂ©der Ă  l’économie payent les artisans indĂ©pendants 25 Ă  40% de plus que la moyenne du la raison pour laquelle j'ai dĂ©cidĂ© de les aider en effectuant la promotion de leurs produits dans mon sur la photo et je pense que, tout comme moi, vous serez sĂ©duits par leurs beaux ce beau collier NdĂ©bĂ©lĂ© dans la boutique d'Ikaya Mossy. Cliquez sur la photo.
Lejour oĂč je me suis aimĂ© pour de vrai, J’ai compris que ma tĂȘte pouvait Me tromper et me dĂ©cevoir. Mais si je la mets au service de mon cƓur Elle devient une alliĂ©e trĂšs prĂ©cieuse Tout ceci est Savoir Vivre. Nous ne devons pas avoir peur de nous confronter. Du chaos naissent les Ă©toiles. Aujourd’hui je sais que ça s’appelle La Vie ! Auteur : Charles
Tous les jours, une personnalitĂ© s'invite dans le monde d'Élodie Suigo. Cette semaine, un invitĂ© exceptionnel, le cinĂ©aste Claude Lelouch qui remonte le temps en se livrant autour de cinq de ses films rĂ©alisateur, producteur, scĂ©nariste, cadreur et passionnĂ© de cinĂ©ma, Claude Lelouch est l'invitĂ© exceptionnel du Monde d'Elodie toute cette semaine. Celui que le cinĂ©ma n’a jamais quittĂ© depuis ses sept ans, pĂ©riode pendant laquelle sa mĂšre le plongeait dans les salles obscures pour Ă©chapper Ă  la Gestapo, Ă©voque ses souvenirs heureux et moins heureux. Parmi ses 50 films, on remonte celui de sa vie avec Un homme et une femme 1966, L’aventure, c’est l’aventure 1972, Les uns et les autres 1981, ItinĂ©raire d’un enfant gĂątĂ© 1988 et Roman de gare 2007. Claude Lelouch, aprĂšs avoir Ă©tĂ© l’acteur principal de son pĂšre, cinĂ©aste amateur, est devenu celui du documentaire de Philippe Azoulay sorti en mai 2022 Tourner pour vivre. franceinfo AprĂšs plus de 50 films et cette fidĂ©litĂ© que vous consacrez au cinĂ©ma, j’ai l’impression que vous ne serez jamais rassasiĂ© ! Claude Lelouch Ça se digĂšre bien le cinĂ©ma. Tous ces films que j’ai envie de revoir me permettent , comme je n’ai pas beaucoup de mĂ©moire, de les redĂ©couvrir. Je pense qu’il y a un millier de films merveilleux qui ont inventĂ©s le cinĂ©ma, qui ont inventĂ©s l’écriture cinĂ©matographique. Je pense qu’un jour un film sera tellement beau, tellement rĂ©ussi que ce n’est pas dix pourcents de la population qui ira le voir, mais la terre entiĂšre. Donc, il y a encore 90% de spectateurs Ă  aller chercher. Je crois au cinĂ©ma comme d’autres croient en Dieu. Je voudrais qu'on aborde le titre du documentaire qui vous a Ă©tĂ© consacrĂ© par Philippe Azoulay Tourner pour vivre. Est-ce que justement pour vous tourner, ce n'est pas tout simplement vivre ? Tout simplement, c'est mon cƓur. Je pense que le jour oĂč je n'aurai plus envie de tourner, mon cƓur s'arrĂȘtera. C’est mon oxygĂšne, c’est ma façon de respirer et tout ce qui se passe dans la vie, c’est des films. Le cinĂ©ma, c'est un art de compression. À un moment donnĂ©, il va falloir ramener Ă  une heure et demie la vie d'un homme de 60 ans. Ceux qui filment un peu mieux que les autres sont des gens qui ont l'esprit de synthĂšse et qui savent aller Ă  l'essentiel. C’est un peu mon cas. Le cinĂ©ma, c'est l'Ă©ternitĂ©. Parce qu'il y a sept milliards de personnes sur cette terre et c'est sept milliards de scĂ©narios fantastiques. Il n'y a pas un scĂ©nario qui soit nul. Moi, je fais un film tous les jours. Cette curiositĂ© alimente en permanence le scĂ©nariste. Vous avez toujours pris soin d'offrir au spectateur ce sentiment de ne pas ĂȘtre au cinĂ©ma. Si on reste spectateur, on s'ennuie. Regardez les gens qui vont Ă  un match de football, j’ai envie de dire que la balle, c’est la Terre. On passe notre vie Ă  envoyer la balle Ă  droite, Ă  gauche, Ă  se l’échanger. Et Ă  chaque coup de pied, les gens hurlent, sont excitĂ©s, deviennent fous donc c’est un peu ça la vie, c’est tous ces coups de pied qu’on donne dans le ballon. "Les films qui marchent sont des films oĂč le spectateur, Ă  un moment donnĂ©, cesse d’ĂȘtre spectateur et s'approprie un personnage en se disant ’C'est ma vie’." Claude LelouchĂ  franceinfo Tous ces films, vous en ĂȘtes propriĂ©taire. Vous avez montĂ© votre boĂźte de production trĂšs tĂŽt. C’était important pour vous d’avoir cette indĂ©pendance ? J’aurais bien aimĂ© avoir, au dĂ©part, des producteurs, mais les trois, quatre premiers que je suis allĂ© voir ne m’ont pas pris au sĂ©rieux et puis je me suis dit s’il faut que je passe par ce genre de personnage, je ne vais pas pouvoir faire les films que j’ai dans la tĂȘte. Le destin a voulu que je sois aussi producteur pour avoir, justement, le "final cut" Ă  chaque fois et essayer de faire ces films que des gens ont aimĂ©. Je sais que ça en agacĂ© certains. Je voudrais qu'on parle de Roman de gare qui n'a pas forcĂ©ment fonctionnĂ©, qui est arrivĂ© aprĂšs quatre films qui ont dĂ©stabilisĂ© votre public. C'Ă©tait un peu La vie devant soi, de Romain Gary. Vous avez eu envie d'Ă©purer le scĂ©nario et j'ai l'impression que ce film a fait partie des piliers de votre vie et de votre parcours de cinĂ©aste. "J'ai essayĂ© de faire croire que Roman de gare’ n'Ă©tait pas de Claude Lelouch et j'ai enfin entendu ce que j'avais envie d'entendre sur un de mes films." Claude LelouchĂ  franceinfo Oui, alors, j'en avais un peu marre de tous ces spĂ©cialistes du cinĂ©ma qui, Ă  chacun de mes films, ouvraient un tiroir, le tiroir "Claude Lelouch" et rĂ©pĂ©taient les mĂȘmes choses. J'ai demandĂ© Ă  mon meilleur ami, HervĂ© Picard, d'endosser la paternitĂ© du film, ce qu'il a fait avec plaisir, d'autant qu'il n'y connaĂźt rien au cinĂ©ma, il n'Ă©tait pas gĂȘnant. Et j'ai fait ce film. C'est vrai que les gens sortaient de la projection, venaient me voir en disant "Tu as trouvĂ© un metteur en scĂšne formidable, c'est extraordinaire". J'ai eu enfin de belles critiques et comme je n'ai pas voulu que le casse du siĂšcle ait lieu, j'ai dit la vĂ©ritĂ©. Quel est votre regard sur tout ce parcours ? Si on m'avait fait lire le scĂ©nario de la vie de Claude Lelouch, j'aurais dit non, lĂ  vous en faites trop, c'est impossible qu'un mec fasse 50 films dans ces conditions, avec des hauts et des bas, avec des ennemis qui sont lĂ  en permanence mais qui sont fidĂšles. J’espĂšre pouvoir jouer les prolongations et je sais que je suis en train de faire mes derniers films. J'aimerais bien faire un film qui me donne envie d'arrĂȘter. Justement, c'est quoi la suite ? Un voyage d'un homme qui frĂŽle la folie parce que le monde d'aujourd'hui est en train de fabriquer des fous. Regardez tous ces hommes qu'on croise dans la rue qui parlent tout seul. Tous ces gens qui, aujourd'hui, n'arrivent plus Ă  faire la synthĂšse de tous les cadeaux qu'on leur propose, de cette sociĂ©tĂ© qui leur a facilitĂ© la vie. La folie va donc ĂȘtre au cƓur de ce prochain film. D'ailleurs, ça va s'appeler La folie des sens. La folie peut nous sauver parce qu'on ne croit plus aux gens raisonnables. Est-ce que le petit garçon de sept ans qui dĂ©couvrait le cinĂ©ma dans les salles obscures pour fuir la Gestapo est fier de l'homme que vous ĂȘtes devenu ? Comme je n'ai pas trop de mĂ©moire... Je ne suis fĂąchĂ© avec personne. Si j'avais de la mĂ©moire, je serais fĂąchĂ© avec la terre entiĂšre. Je suis nĂ© avec Alzheimer, j’ai la mĂ©moire du prĂ©sent. Une mĂ©moire qui se souvient que de trĂšs belles choses, la vie est belle. Je suis jaloux de Blier, quand il a fait un film qui s’appelait Merci la vie parce que cela aurait dĂ» ĂȘtre le titre de tous mes films. Lejour oĂč je me suis aimĂ©(e) pour de vrai, j’ai cessĂ© d’avoir peur du temps libre et j’ai arrĂȘtĂ© de faire de grands plans; j’ai abandonnĂ© les « mĂ©ga-projets »du futur. Aujourd’hui, je fais ce qui est correct, ce que j’aime, quand ça me plait et
Il y a quelque temps, je te partageais des outils pour dĂ©couvrir ta mission de vie si tu ne l’as pas lu voici le lien. Aujourd’hui, je t’explique que le jour oĂč je me suis aimĂ© pour de vrai, j’ai dĂ©couvert ma mission de vie. Ma mission de vie. J’ai toujours Ă©tĂ© trĂšs touchĂ©e par l’injustice, l’irrespect et la violence. De façon gĂ©nĂ©rale, on peut dire que j’ai toujours Ă©tĂ© trĂšs affectĂ©e par la malveillance qui peut rĂ©gner autour de nous. Ayant toujours ressenti un profond respect pour le vivant, c’est quelque chose que je ne comprends pas. Je rĂȘve d’un monde oĂč l’ego n’a plus sa place. Un monde fait de collaborations, d’amour, de respect et de joie. Je rĂȘve d’un monde oĂč chacun se sent libre d’ĂȘtre qui il est vraiment. Un monde lĂ©ger dans lequel chacun a un rĂŽle Ă  jouer. Je rĂȘve d’une vie pleine de sens pour tous. Une vie oĂč chaque moment est savourĂ©. Une vie dans laquelle on n’a rien Ă  regretter. J’ai pris conscience que pour guĂ©rir ce monde, il faut avant tout guĂ©rir en nous. J’ai pris conscience que pour se libĂ©rer d’une vie qui ne nous convient pas, il faut apprendre Ă  s’aimer vraiment. C’est un travail que j’ai fait sur moi. Cela a Ă©tĂ© long et douloureux parfois, car c’est un chemin que j’ai empruntĂ© seule. Mais aujourd’hui, je peux le dire je m’aime vraiment ! Aujourd’hui, je sens qu’une nouvelle vie pleine de sens s’offre Ă  moi. Une vie dans laquelle je suis moi. Une vie dans laquelle je me sens libre. Une vie oĂč baignent respect, collaboration, amour et joie. Et donc cette mission de vie ? Ma mission, c’est d’aider les femmes Ă  dĂ©terminer qui elles sont, Ă  s’aimer et Ă  dĂ©passer leurs peurs pour se construire une vie pleine de sens. Ma mission est d’accompagner cette femme, qui semble avoir tout pour ĂȘtre heureuse et qui pourtant, se sent perdue dans sa vie, pas Ă  la bonne place, pas heureuse. Ma mission est d’accompagner cette femme dans sa transformation. Ma mission est de te faire rayonner Ă  l’intĂ©rieur pour qu’à ton tour rayonner vers l’extĂ©rieur. La transformation. Pour dĂ©finir cette transformation, je te partage un texte de Kim McMillen. Kim McMillen est une femme Ă©crivain qui, avant sa mort en 1996, a Ă©crit un livre pour ses amis intitulĂ© When I Loved Myself Enough ». Ce livre a Ă©tĂ© Ă©ditĂ© par sa fille en 2001 voici le lien si tu souhaites l’acquĂ©rir. Ma mĂšre ne savait pas qu’elle Ă©tait malade et allait mourir lorsqu’elle a Ă©crit ce livre. Elle savait inconsciemment peut ĂȘtre, qu’elle devait transmettre les vĂ©ritĂ©s qu’elle avait apprise. AprĂšs de nombreuses annĂ©es remplies de doutes sur elle-mĂȘme, elle se consacra Ă  dĂ©velopper la compassion pour soi. Elle voulut mettre ses rĂ©flexions pour les transmettre aux autres. » Alison McMillen. Le jour oĂč je me suis aimĂ© pour vrai, j’ai compris qu’en toutes circonstances, j’étais Ă  la bonne place, au bon alors, j’ai pu me je sais que ça s’appelle
 Estime de soi Le jour oĂč je me suis aimĂ© pour vrai, j’ai pu percevoir que mon anxiĂ©tĂ© et ma souffrance Ă©motionnelle n’étaient rien d’autre qu’un signal quand je vais contre mes je sais que ça s’appelle
 AuthenticitĂ© Le jour oĂč je me suis aimĂ© pour vrai, j’ai cessĂ© de vouloir une vie diffĂ©rente et j’ai commencĂ© Ă  voir que tout ce qui m’arrive contribue Ă  ma croissance je sais que ça s’appelle
 MaturitĂ© Le jour oĂč je me suis aimĂ© pour vrai, j’ai commencĂ© Ă  percevoir l’abus dans le fait de forcer une situation ou une personne dans le seul but d’obtenir ce que je veux en sachant trĂšs bien que ni la personne ni moi-mĂȘme ne sommes prĂȘts et que ce n’est pas le moment

Aujourd’hui je sais que ça s’appelle
 Respect Le jour oĂč je me suis aimĂ© pour vrai, j’ai commencĂ© Ă  me libĂ©rer de tout ce qui ne m’était pas salutaire 
personnes, situations, tout ce qui baissait mon Ă©nergie. Au dĂ©but, ma raison appelait ça de l’ je sais que ça s’appelle
 Amour Propre Le jour oĂč je me suis aimĂ© pour vrai, j’ai cessĂ© d’avoir peur du temps libre et j’ai arrĂȘtĂ© de faire de grands plans , j’ai abandonnĂ© les mĂ©ga-projets du futur. Aujourd’hui, je fais ce qui est correct, ce que j’aime, quand ça me plaĂźt et Ă  mon je sais que ça s’appelle
 SimplicitĂ© Le jour oĂč je me suis aimĂ© pour vrai, j’ai cessĂ© de chercher Ă  toujours avoir raison et me suis rendu compte de toutes les fois oĂč je me suis j’ai dĂ©couvert 
 l’HumilitĂ© Le jour oĂč je me suis aimĂ© pour vrai, j’ai cessĂ© de revivre le passĂ© et de me prĂ©occuper de l’avenir. Aujourd’hui, je vis au prĂ©sent lĂ  oĂč toute la vie se je vis une seule journĂ©e Ă  la ça s’appelle
 PlĂ©nitude Le jour oĂč je me suis aimĂ© pour vrai, j’ai compris que ma tĂȘte pouvait me tromper et me si je la mets au service de mon coeur, elle devient un alliĂ© trĂšs prĂ©cieuxTout ceci est
. SAVOIR VIVRE ! Si cet article te parle, merci de laisser un commentaire ci-dessous. Si tu penses que cet article pourrait aider quelqu’un autour de toi, partage-le. Si tu as des questions, l’onglet commentaire ci-dessous est Ă  ta disposition, j’y rĂ©ponds dĂšs que possible. D’ici le prochain article, prends bien soin de toi et n’oublies pas jereprendslecontroledemavie »
Lejour oĂč je me suis aimĂ© pour de vraiUn magnifique texte plein d'espoir Ă©crit par Kim McMillen , sur l'estime de soi, la maturitĂ© et la bontĂ© de l'ĂȘtre Un texte d’Alison Mc Milen que j’apprĂ©cie particuliĂšrement. Il parle de nos blessures, de leur guĂ©rison et de la façon de vivre dans le respect de soi et des ses valeurs. Le jour oĂč je me suis aimĂ© pour de vrai, j’ai compris qu’en toutes circonstances, j’étais Ă  la bonne place, au bon moment. Et alors, j’ai pu me relaxer. Aujourd’hui je sais que cela s’appelle
 l’Estime de soi. Le jour oĂč je me suis aimĂ© pour de vrai, j’ai pu percevoir que mon anxiĂ©tĂ© et ma souffrance Ă©motionnelle n’étaient rien d’autre qu’un signal lorsque je vais Ă  l’encontre de mes convictions. Aujourd’hui je sais que cela s’appelle
 l’AuthenticitĂ©. Le jour oĂč je me suis aimĂ© pour de vrai, J’ai cessĂ© de vouloir une vie diffĂ©rente et j’ai commencĂ© Ă  voir que tout ce qui m’arrive contribue Ă  ma croissance personnelle. Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle
 la MaturitĂ©. Le jour oĂč je me suis aimĂ© pour de vrai, j’ai commencĂ© Ă  percevoir l’abus dans le fait de forcer une situation ou une personne, dans le seul but d’obtenir ce que je veux, sachant trĂšs bien que ni la personne ni moi-mĂȘme ne sommes prĂȘts et que ce n’est pas le moment
 Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle
 le Respect. Le jour oĂč je me suis aimĂ© pour de vrai, j’ai commencĂ© Ă  me libĂ©rer de tout ce qui n’était pas salutaire, personnes, situations, tout ce qui baissait mon Ă©nergie. Au dĂ©but, ma raison appelait cela de l’égoĂŻsme. Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle
 l’Amour propre. Le jour oĂč je me suis aimĂ© pour de vrai, j’ai cessĂ© d’avoir peur du temps libre et j’ai arrĂȘtĂ© de faire de grands plans, j’ai abandonnĂ© les mĂ©ga-projets du futur. Aujourd’hui, je fais ce qui est correct, ce que j’aime quand cela me plait et Ă  mon rythme. Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle
 la SimplicitĂ©. Le jour oĂč je me suis aimĂ© pour de vrai, j’ai cessĂ© de chercher Ă  avoir toujours raison, et je me suis rendu compte de toutes les fois oĂč je me suis trompĂ©. Aujourd’hui, j’ai dĂ©couvert 
 l’HumilitĂ©. Le jour oĂč je me suis aimĂ© pour de vrai, j’ai cessĂ© de revivre le passĂ© et de me prĂ©occuper de l’avenir. Aujourd’hui, je vis au prĂ©sent, lĂ  oĂč toute la vie se passe. Aujourd’hui, je vis une seule journĂ©e Ă  la fois. Et cela s’appelle
 la PlĂ©nitude. Le jour oĂč je me suis aimĂ© pour de vrai, j’ai compris que ma tĂȘte pouvait me tromper et me dĂ©cevoir. Mais si je la mets au service de mon cƓur, elle devient une alliĂ©e trĂšs prĂ©cieuse ! Tout ceci, c’est
 le Savoir vivre. B1vK.
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