LeJour oĂč je me suis aimĂ© pour de vrai Le jour oĂč je me suis aimĂ© pour de vrai, jâai compris quâen toutes circonstances, jâĂ©tais Ă la bonne place, au bon moment.Et alors, jâai pu me relaxer. Aujourdâhui je sais que cela sâappelle lâEstime de soi. Le jour oĂč je me suis aimĂ© pour de vrai, jâai pu percevoir que mon anxiĂ©tĂ© et ma souffrance Ă©motionnelle n
Le jour oĂč je me suis aimĂ© pour de vrai,jâai compris quâen toutes circonstances,jâĂ©tais Ă la bonne place, au bon alors, jâai pu me je sais que cela sâappelle⊠lâEstime de jour oĂč je me suis aimĂ© pour de vrai,jâai pu percevoir que mon anxiĂ©tĂ© et ma souffrance Ă©motionnellenâĂ©taient rien dâautre quâun signallorsque je vais Ă lâencontre de mes je sais que cela sâappelle⊠lâ jour oĂč je me suis aimĂ© pour de vrai,Jâai cessĂ© de vouloir une vie diffĂ©renteet jâai commencĂ© Ă voir que tout ce qui mâarrivecontribue Ă ma croissance je sais que cela sâappelle⊠la jour oĂč je me suis aimĂ© pour de vrai,jâai commencĂ© Ă percevoir lâabusdans le fait de forcer une situation ou une personne,dans le seul but dâobtenir ce que je veux,sachant trĂšs bien que ni la personne ni moi-mĂȘmene sommes prĂȘts et que ce nâest pas le momentâŠAujourdâhui, je sais que cela sâappelle⊠le jour oĂč je me suis aimĂ© pour de vrai,jâai commencĂ© Ă me libĂ©rer de tout ce qui nâĂ©tait pas salutaire,personnes, situations, tout ce qui baissait mon dĂ©but, ma raison appelait cela de lâ je sais que cela sâappelle⊠lâAmour jour oĂč je me suis aimĂ© pour de vrai,jâai cessĂ© dâavoir peur du temps libreet jâai arrĂȘtĂ© de faire de grands plans,jâai abandonnĂ© les mĂ©ga-projets du je fais ce qui est correct, ce que jâaimequand cela me plait et Ă mon je sais que cela sâappelle⊠la jour oĂč je me suis aimĂ© pour de vrai,jâai cessĂ© de chercher Ă avoir toujours raison,et je me suis rendu compte de toutes les fois oĂč je me suis jâai dĂ©couvert ⊠lâ jour oĂč je me suis aimĂ© pour de vrai,jâai cessĂ© de revivre le passĂ©et de me prĂ©occuper de lâ je vis au prĂ©sent,lĂ oĂč toute la vie se je vis une seule journĂ©e Ă la cela sâappelle⊠la jour oĂč je me suis aimĂ© pour de vrai,jâai compris que ma tĂȘte pouvait me tromper et me si je la mets au service de mon coeur,elle devient une alliĂ©e trĂšs prĂ©cieuse !Tout ceci, câest⊠le Savoir ne devons pas avoir peur de nous chaos naissent les par RenĂ© DumonceauVous pouvez partager cet article Ă condition dâen respecter lâintĂ©gralitĂ© et d'en citer la source. Utilisez toujours votre discernement par rapport Ă ces Ă©crits. Vous avez un Libre-Arbitre, alors utilisez-le et surtout, Ă©coutez ce que vous dicte votre coeur. Lui seul dĂ©tient votre vĂ©ritĂ©, laissez-le vous le 15/05/2011+MĂ J 09/08/2017 MA PUBLICITE COUP DE COEUR Je vous prĂ©sente la boutique d'IKAYA MOSSY qui travaille avec les artisans des pays d'Afrique et les aide Ă accĂ©der Ă lâĂ©conomie payent les artisans indĂ©pendants 25 Ă 40% de plus que la moyenne du la raison pour laquelle j'ai dĂ©cidĂ© de les aider en effectuant la promotion de leurs produits dans mon sur la photo et je pense que, tout comme moi, vous serez sĂ©duits par leurs beaux ce beau collier NdĂ©bĂ©lĂ© dans la boutique d'Ikaya Mossy. Cliquez sur la photo.Lejour oĂč je me suis aimĂ© pour de vrai, Jâai compris que ma tĂȘte pouvait Me tromper et me dĂ©cevoir. Mais si je la mets au service de mon cĆur Elle devient une alliĂ©e trĂšs prĂ©cieuse Tout ceci est Savoir Vivre. Nous ne devons pas avoir peur de nous confronter. Du chaos naissent les Ă©toiles. Aujourdâhui je sais que ça sâappelle La Vie ! Auteur : CharlesTous les jours, une personnalitĂ© s'invite dans le monde d'Ălodie Suigo. Cette semaine, un invitĂ© exceptionnel, le cinĂ©aste Claude Lelouch qui remonte le temps en se livrant autour de cinq de ses films rĂ©alisateur, producteur, scĂ©nariste, cadreur et passionnĂ© de cinĂ©ma, Claude Lelouch est l'invitĂ© exceptionnel du Monde d'Elodie toute cette semaine. Celui que le cinĂ©ma nâa jamais quittĂ© depuis ses sept ans, pĂ©riode pendant laquelle sa mĂšre le plongeait dans les salles obscures pour Ă©chapper Ă la Gestapo, Ă©voque ses souvenirs heureux et moins heureux. Parmi ses 50 films, on remonte celui de sa vie avec Un homme et une femme 1966, Lâaventure, câest lâaventure 1972, Les uns et les autres 1981, ItinĂ©raire dâun enfant gĂątĂ© 1988 et Roman de gare 2007. Claude Lelouch, aprĂšs avoir Ă©tĂ© lâacteur principal de son pĂšre, cinĂ©aste amateur, est devenu celui du documentaire de Philippe Azoulay sorti en mai 2022 Tourner pour vivre. franceinfo AprĂšs plus de 50 films et cette fidĂ©litĂ© que vous consacrez au cinĂ©ma, jâai lâimpression que vous ne serez jamais rassasiĂ© ! Claude Lelouch Ăa se digĂšre bien le cinĂ©ma. Tous ces films que jâai envie de revoir me permettent , comme je nâai pas beaucoup de mĂ©moire, de les redĂ©couvrir. Je pense quâil y a un millier de films merveilleux qui ont inventĂ©s le cinĂ©ma, qui ont inventĂ©s lâĂ©criture cinĂ©matographique. Je pense quâun jour un film sera tellement beau, tellement rĂ©ussi que ce nâest pas dix pourcents de la population qui ira le voir, mais la terre entiĂšre. Donc, il y a encore 90% de spectateurs Ă aller chercher. Je crois au cinĂ©ma comme dâautres croient en Dieu. Je voudrais qu'on aborde le titre du documentaire qui vous a Ă©tĂ© consacrĂ© par Philippe Azoulay Tourner pour vivre. Est-ce que justement pour vous tourner, ce n'est pas tout simplement vivre ? Tout simplement, c'est mon cĆur. Je pense que le jour oĂč je n'aurai plus envie de tourner, mon cĆur s'arrĂȘtera. Câest mon oxygĂšne, câest ma façon de respirer et tout ce qui se passe dans la vie, câest des films. Le cinĂ©ma, c'est un art de compression. Ă un moment donnĂ©, il va falloir ramener Ă une heure et demie la vie d'un homme de 60 ans. Ceux qui filment un peu mieux que les autres sont des gens qui ont l'esprit de synthĂšse et qui savent aller Ă l'essentiel. Câest un peu mon cas. Le cinĂ©ma, c'est l'Ă©ternitĂ©. Parce qu'il y a sept milliards de personnes sur cette terre et c'est sept milliards de scĂ©narios fantastiques. Il n'y a pas un scĂ©nario qui soit nul. Moi, je fais un film tous les jours. Cette curiositĂ© alimente en permanence le scĂ©nariste. Vous avez toujours pris soin d'offrir au spectateur ce sentiment de ne pas ĂȘtre au cinĂ©ma. Si on reste spectateur, on s'ennuie. Regardez les gens qui vont Ă un match de football, jâai envie de dire que la balle, câest la Terre. On passe notre vie Ă envoyer la balle Ă droite, Ă gauche, Ă se lâĂ©changer. Et Ă chaque coup de pied, les gens hurlent, sont excitĂ©s, deviennent fous donc câest un peu ça la vie, câest tous ces coups de pied quâon donne dans le ballon. "Les films qui marchent sont des films oĂč le spectateur, Ă un moment donnĂ©, cesse dâĂȘtre spectateur et s'approprie un personnage en se disant âC'est ma vieâ." Claude LelouchĂ franceinfo Tous ces films, vous en ĂȘtes propriĂ©taire. Vous avez montĂ© votre boĂźte de production trĂšs tĂŽt. CâĂ©tait important pour vous dâavoir cette indĂ©pendance ? Jâaurais bien aimĂ© avoir, au dĂ©part, des producteurs, mais les trois, quatre premiers que je suis allĂ© voir ne mâont pas pris au sĂ©rieux et puis je me suis dit sâil faut que je passe par ce genre de personnage, je ne vais pas pouvoir faire les films que jâai dans la tĂȘte. Le destin a voulu que je sois aussi producteur pour avoir, justement, le "final cut" Ă chaque fois et essayer de faire ces films que des gens ont aimĂ©. Je sais que ça en agacĂ© certains. Je voudrais qu'on parle de Roman de gare qui n'a pas forcĂ©ment fonctionnĂ©, qui est arrivĂ© aprĂšs quatre films qui ont dĂ©stabilisĂ© votre public. C'Ă©tait un peu La vie devant soi, de Romain Gary. Vous avez eu envie d'Ă©purer le scĂ©nario et j'ai l'impression que ce film a fait partie des piliers de votre vie et de votre parcours de cinĂ©aste. "J'ai essayĂ© de faire croire que Roman de gareâ n'Ă©tait pas de Claude Lelouch et j'ai enfin entendu ce que j'avais envie d'entendre sur un de mes films." Claude LelouchĂ franceinfo Oui, alors, j'en avais un peu marre de tous ces spĂ©cialistes du cinĂ©ma qui, Ă chacun de mes films, ouvraient un tiroir, le tiroir "Claude Lelouch" et rĂ©pĂ©taient les mĂȘmes choses. J'ai demandĂ© Ă mon meilleur ami, HervĂ© Picard, d'endosser la paternitĂ© du film, ce qu'il a fait avec plaisir, d'autant qu'il n'y connaĂźt rien au cinĂ©ma, il n'Ă©tait pas gĂȘnant. Et j'ai fait ce film. C'est vrai que les gens sortaient de la projection, venaient me voir en disant "Tu as trouvĂ© un metteur en scĂšne formidable, c'est extraordinaire". J'ai eu enfin de belles critiques et comme je n'ai pas voulu que le casse du siĂšcle ait lieu, j'ai dit la vĂ©ritĂ©. Quel est votre regard sur tout ce parcours ? Si on m'avait fait lire le scĂ©nario de la vie de Claude Lelouch, j'aurais dit non, lĂ vous en faites trop, c'est impossible qu'un mec fasse 50 films dans ces conditions, avec des hauts et des bas, avec des ennemis qui sont lĂ en permanence mais qui sont fidĂšles. JâespĂšre pouvoir jouer les prolongations et je sais que je suis en train de faire mes derniers films. J'aimerais bien faire un film qui me donne envie d'arrĂȘter. Justement, c'est quoi la suite ? Un voyage d'un homme qui frĂŽle la folie parce que le monde d'aujourd'hui est en train de fabriquer des fous. Regardez tous ces hommes qu'on croise dans la rue qui parlent tout seul. Tous ces gens qui, aujourd'hui, n'arrivent plus Ă faire la synthĂšse de tous les cadeaux qu'on leur propose, de cette sociĂ©tĂ© qui leur a facilitĂ© la vie. La folie va donc ĂȘtre au cĆur de ce prochain film. D'ailleurs, ça va s'appeler La folie des sens. La folie peut nous sauver parce qu'on ne croit plus aux gens raisonnables. Est-ce que le petit garçon de sept ans qui dĂ©couvrait le cinĂ©ma dans les salles obscures pour fuir la Gestapo est fier de l'homme que vous ĂȘtes devenu ? Comme je n'ai pas trop de mĂ©moire... Je ne suis fĂąchĂ© avec personne. Si j'avais de la mĂ©moire, je serais fĂąchĂ© avec la terre entiĂšre. Je suis nĂ© avec Alzheimer, jâai la mĂ©moire du prĂ©sent. Une mĂ©moire qui se souvient que de trĂšs belles choses, la vie est belle. Je suis jaloux de Blier, quand il a fait un film qui sâappelait Merci la vie parce que cela aurait dĂ» ĂȘtre le titre de tous mes films. Lejour oĂč je me suis aimĂ©(e) pour de vrai, jâai cessĂ© dâavoir peur du temps libre et jâai arrĂȘtĂ© de faire de grands plans; jâai abandonnĂ© les « mĂ©ga-projets »du futur. Aujourdâhui, je fais ce qui est correct, ce que jâaime, quand ça me plait et